guilde KENAFAIR
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 Un jour, un livre

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lara35
liling
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liling

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MessageSujet: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeLun 24 Nov - 19:45

Quelqu'un me disait il y a quelque temps que mon sujet 'la bande a BD' etait sympa mais qu'il preferait les livres et plus particulierement les romans policiers... C'est pas grave vous avez aussi le droit d'ouvrir des sujets, ca me ferait plaisir des fois. Voici quelque sujet interessant: 'liling la plus belle des shamy', 'rubrique poêmes sur notre merveilleuse liling', 'les guerriers, c'est caca, y que les shamy dragons de bien sur metin'...

Donc pour vous encourager un pyti peu, j'ouvre un sujet livre Wink et mieux de vais parler de livre (pour quelqu'un qui lit pas, ca va etre sportif).

Commencons par cet écrivain Tolken (3 janvier 1892-2 septembre 1973). Non je vous rassure j'ai jamais lu ses pavés de 10000 pages a part bilbo Very Happy .
Saviez vous que la petite histoire de l'anneau entre golum et bilbo (son nom originel) est vrai et exsiste dans le livre pour enfant 'Bilbo le hobbit' (son premier livre)
Bilbo le hobbit, de Tolken a écrit:
Dans un trou vivait un hobbit...
ainsi commence ce merveilleux livres qui en 70 traduit par un pro a données: "In the hole, live a Hobbit" -> "Dans un trou, vivait un lapin", bien sur jamais notre traducteur n'a reparler de ce lapin dans les lignes et pages qui ont suivit et le bouquin a vite ete retiré de la vente pour devenir un exemplaire de légende tres tres rechercher Wink .
- Tolken, pour ce qui ne le savent pas n'etait en fait qu'un simple prof d'anglais pour anglais qui désesperé de la pauvreté de la culture litéraire et fantastique de son pays a décidé de l'enrichir un peu. Il a remplit des tones et des tones de notes qui décrivent un monde merveilleux: "Les terres du milieu". On y retrouve, des histoires, des légendes, la mythologies, cultes, la description des peuples, des vetements de chaque peuples régions (et meme vetement particulier a une seule cérémonie d'un peuple particulier qui n'a lieu qu'un seul jour par millenaire Very Happy ). On trouve aussi faune, flore, bestiaire,recette de cuisine (hobbit), chant (elfique), poeme... N'oublions pas l'economie, géographie, dictionnaire de language elfique, nains... Ce grand monsieur a écrit tout un monde dans ces moindre détails Surprised
- Du coup cette mine d'or apres sa mort a manque a ses héritiers qui se sont consoler en sortant encore des bouquin écrit par lui: Le Silmarillion, une "mythologie des terre du mileiu", qu'il a passer sa vie a a moitier écrire. Si vous voulez la lire commencer par apprendre par coeur le lexique (non de tous les heros/deite des terres du milieu) a la fin ou vous abandonnerez vite ;( . Mais parait que ca vaut le coup.

Voila qui est un pytit début tres facile car tout le monde connais Tolken et son seigneur des anneaux.

PS: j'ecris en ce moment le sujet sur H.P Lovecraft, puis je vous parlerais de Moorcock Wink .
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lara35

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeLun 24 Nov - 22:03

Ok , parlons de ce que nous lisons ...

Pour ma part , je suis plutôt "policier" , je lis beaucoup du Harlan Coben ( sans un mot , ne le dis a personne ), Maxime Chattam ( la trilogie : l'âme du

mal , in ténebris et maléfices ) , Elisabeth George ( sans l'ombre d' un témoin , mémoire infidèle ), John Connelly ( le pouvoir des ténèbres) ,

J'aime aussi lire Stephen King et pourquoi pas un petit " astérix et obélix" , "agent 212 "ou "gaston lagaffe" BD con mais marrante loll

Quand à ludo , il se demande quel est l'intêret d'ouvrir un livre Rolling Eyes ( si ce n'est ni un bouquin de ping pong , ni un bouquin de pêche) lol!

A bon lecteur , salut Very Happy
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liling

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMar 25 Nov - 17:27

Moi comme je l'ai dit je suis pas du tout lecteur quoi que mon sujet Lovecarft m'a redonner envie de rachetter les bouquins (a force de les preter on ne retrouve jamais c'est truc la) et de relire quelque sombre nouvelles afin de faire de beaux rêves Cool .

Je connais pas trop tes auteurs bien sur, mais vu les titre il se peut que quelques Lovecrat te plaise. Puis tu iras te blotir contre Ludo, "chéri flower , j'arrive pas a dormir Crying or Very sad , j'ai peur affraid , protège moi I love you ", toute les escuses sont bonnes Rolling Eyes .

King ecrit des pavés donc je les ai pas lu, mais ai les films en video. "Ca" est trop marrant, je l'adore, ils flotte tous en bas Laughing . "Le fléau" trop fort, un monde apocalyptique comme je les aime, mais la fin est moyenne/baclet et il parait que c'est mieux dans le livre. J'aime bien aussi celui avec la brume qui amene une espece de je sais plus quoi (zombi/profete/esprit vengeur) scratch . Puis un autre sur un avions qui travers un truc bizarre et je sais plus mais je crois que quand il aterissent a l'aéroport le monde est desert scratch ainsi que les Tonyknocker sont distrayant sans plus.

Pour les BD j'avais créer un autre sujet mais bon, j'aime bien aussi les BD classique Astérix, luky luke... J'adore trop Lagaffe I love you bien sur (mon héro, quand je serai grand je serai Gaston Lagaffe). Mieux que spirou, notre petit Spirou. Dans le meme registre on y trouve la bande de "Fluide Glacial": les radada la méchante sorciere, Soeur marie thérese des Batignolle (la bonne soeur en rangeot qui fume des pete d'encens), les liteul Kevin (trop marrant le pyti gamin Hell's Angel)...

Quand a Ludo, il as deja essayer de jouer avec une BD en guise de raquette Very Happy , sérieux c'est trop bidonnant, pas contre la surface lisse pour les smatch c'est pas génial No .
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MessageSujet: H.P Lovecraft   Un jour, un livre Icon_minitimeMer 26 Nov - 17:27

Dans le charme des années 1880 jusqu'au années folles (1920-1930). Tranche de vie/enquettes sur des fait plus ou moins surnaturel comme on n'en fait plus. Fantastique/surnaturel/peur/horreur mais pas gore Wink . Ca ressemble un peu a du Poe. Son style est tres particulier et arrive par un amas de mot térrifiant a transmettre une impression de malaise/effroi/terreur/folie... Personnellement je déconseille tout ce qui touche a Lovecraft aux ames sensibles, impressionnables, surtout aux enfants de moins de 100 ans.

Un jour, un livre 300px-10


H.P Lovecraft (Howard Phillips, 20 août 1890-15 mars 1937): Que dire de cette ecrivain a moitier maladif/associal? Il a perdu ses parents jeunes, elevé par ses grands parents, et quelque séjours a l'hopital psychatrique... Ce maitre de l'enquete d'horreur a inspirer la plus part des écrivain de son temps jusqu'a nos jours Wink . Il a principalement écrit des poemes et nouvelles, traitant de dieu chaotique et autres créatures maudite. Ce doit etre le premier a faire référence au Nécronomicum, ouvrage supposément écrit par l'« Arabe fou » Abdul al-Hazred, dont je vous épargnerai la description (vous savez le livre souche de la trilogie "Evil Dead"). Il vous raconte souvent la vie de gens plus ou moins "normaux" qui font un truc, un antropologue qui part étudier dans les bois, un mec qui achette une maison a salem... Bien sur l'antropologue va découvrir des microseisme bizarre ou une lituanie maudite (je sais plus trop), et la maison de salem a aussi des truc bizzare qui font qu'on s'y sent tres malalaise. Les méchants dans lovecraft sont attorcement puissant (pire que les titan de glace, plus proche du dragon puissance 10), des créautres 100 fois plus fort qu'un humain ou aussi grand qu'un immeuble de 10 étage c'est le minimum et généralement ce sont des Dieux chaotiques appelés Grand anciens (Cthulhu, Azathoth, Nyarlathotep, Yog-Sothoth: "mais oui des joueurs portent ces noms sur metin"). Un théorie veut que si on largue une bombe atomique sur Cthulhu, il lui faudrait une pytite dizaine de minutes pour ce reconstituer, heureusement qu'il dort dans la citée de R'lyeh la morte. Ca c'est de bon livre ou les héros ne gagnes pas a tout les coups Very Happy , et la mort est rarement la pire issue. Lovecraft a créé aussi quelques villes aux états unis comme Arkham (mais oui vous avez deja entendu parler de l'asile d'Arkham... dans Batman peut-etre?), Dunwich, Innsmouth (pyti village de pêcheur paisible mais bizzare...)...
PS: Ames sensibles s'abstenir.

voici quelque chef d'oeuvre de Lovecraft vous m'en direz des nouvelle Wink :
- "Herbert West": Reanimateur: La vie d'un medecin qui cherche a découvrir la panacée universelle: un remede a la mort. Attardez vous sur la description de ce personnage a chaque début de chapitre. (Le film "Réanimator" est un film de série B des années 70 tiré de cette histoire mais adapté aux années 70, ca n'a rien a voir, meme si l'auteur a voulu se prendre pour Lovecraft)
- "les chiens de Thindalos": l'histoire de un ou deux scientifiques qui expérimentes une drogues qui leur permet de projeter leur esprit dans le passé pour l'étudier. Bien que l'ensemble soit oppressant j'ai trouvé la fin a mourrir de rire Very Happy .
- "Dagon" et "Père Dagon et mère Hydra": deux pytites histoires sur les dieux d'un peuple un peu bizzare les "Profonds"... Dagon est une référence dans la litérature d'effroi (et pourtant je la trouve bien vide par rapport aux autres). Bien qu'a mon gout ce soit du petit Lovecraft, en 5 pages et peu d'adjectif (sa spécialité), Lovecraft réussit une fois de plus avec brio, un exercice de style qui nous laisse penseur.
- "Le cauchemar d’Innsmouth": Un type curieur qui se rend a Innsmouth, un petit village de pêcheur évité de tous on ne sais pas pourquoi. Sauf si on lit cette nouvelle. Bien que le film inspiré, "Dagon", soit de série B Sad , que si vous commencez a le regardez vous vous direz "c'est quoi cette daube, zap y a téléfoot sur la une.", c'est a mon gout un chef d'oeuvre en hommage a Lovecraft. Attention, le films est tres cru, parole, acte, idée crue/violente, le tout dans une ambiance oppressante Very Happy . Qu'elle que instant assez gore aussi. Vous pouvez facilement trouver des images sur internet bien sur mais je vous previens on n'y trouve pas que les nénés de la fille.
- "L'Appel de Cthulhu" et compagnie: toute les nouvelles contenant le nom Chutlhu annonce bien sur la couleur (pas celle tombe du ciel, d'ailleur il parait que "la couleur tombée du ciel" de lovecraft est aussi une nouvelle géniale Wink ). On y parle du Grand Ancien Chutlhu. On n'y trouve meme l'incantation: "Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn..." Smile
- "L'Affaire Charles Dexter Ward": L'histoire d'un jeune archéologue/historien, qui découvrant ca généalogie va lentement sombré dans la folie...
- Il n'est pas possible de tout citer, Lovecraft passe du coq a l'ane de nouvelle en nouvelle tout en restant lié a une trame de font générale: "Le Mythe de Chutlhu" et les "Grands Anciens".

Un jour, un livre 300px-11
Tiens Cthulhu qui sort de R'lyeh Surprised . Mais je vous rassure, cette représentation n'est qu'une fiction, enfin je l'espère pour nous tous Sad .


Il a surout ecrit pour les pulps (pulp magazines: sorte de journale de Mickey pour adulte traitant de fantastique, science fiction... Du coup pas mal d'auteur de sont epoque on melée ses histoire aux leurs, vous ecrit comme lui. Resultat si vous chercher des livres:
- soit vous trouverez des 100% Lovecafien. 3 pavé aux pages fines et écrit en tout petit (j'ai racheter le premier, et commendé les autres).
- soit des melanges d'auteur dont quelque nouvelle de Lovecraft. (ce qui est aussi interessant et contient aussi quelque grand cru du fantastique d'effroi)


pour détendre l'atmosphere, je vous parlerai la prochaine fois de Michael Moorcock et de ses cycle sur les "Champion Eternel" Elric, Hawkmoon, Corum... Il a principalement marqué l'héroïque fantaisy pour son idée de l'anti-héros (ca ne veux pas dire mechant contrairement a ce que vous pensez) et le multivers(multi-univers).


Dernière édition par liling le Mer 26 Nov - 18:23, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMer 26 Nov - 17:32

C'est vraie que c'est pas facile a expliquer... Voila je vous ai trouver la nouvelle Dagon alors je vous la copie colle, c'est une pytite histoire toute mimi a mon gout, pas trop choquante. C'est par contre la première nouvelle du livre " le mythe de Cthulhu" et de ce fait est une tres bonne introduction a ce receuil de nouvelles. L'ideal, vous imprimez et vous la lisez dans la pénombre juste avant d'éteindre la lumière.

Dagon, H.P Lovecraft a écrit:
C'est dans un état bien particulier que j'écris ces mots, puisque cette nuit je ne serai plus.
Je me trouve sans le sou, au terme de mon supplice de drogué qui ne supporte plus la vie sans sa dose, et je ne puis endurer plus longtemps ma torture. Je vais sauter par la fenêtre, me jeter dans cette rue sordide. Il ne faudrait pourtant pas croire que la morphine, dont je suis l'esclave, ait fait de moi un être faible ou dégénéré. Lorsque vous aurez lu ces quelques pages hâtivement griffonnées, vous ne vous étonnerez pas - encore que vous ne puissiez jamais le comprendre parfaitement - que je me trouve devant cette unique alternative : l'oubli ou la mort. Cela se passa dans l'une des régions les plus désertes du vaste Pacifique. J'étais le subrécargue d'un paquebot qui tomba sous les assauts d'un destroyer allemand. La Grande Guerre en était à ses tout premiers débuts et les forces navales ennemies n'étaient pas arrivées au stade ultime de leur dégradation. Par conséquent, notre vaisseau constituait encore une proie de choix, et son équipage fut traité avec toute la considération qui lui était due. Nos geôliers se montrèrent même tellement libéraux que, cinq jours à peine après notre capture, je trouvai le moyen de m'enfuir seul sur un petit bateau, avec de l'eau et une provision de vivres suffisante pour subsister assez longtemps. Lorsque je fus assez loin du bateau ennemi pour me sentir absolument libre, je m'aperçus que je n'avais pas la moindre idée de l'endroit ou je me me trouvais. Je n'ai jamais été un bon marin. Je pus constater toutefois, d'après la position du soleil, et plus tard des étoiles, que j'étais quelque part au sud de l'Equateur. Mais j'ignorais tout de la situation de ces lieux, et il n'y avait en vue aucune côte, aucune île pour m'en donner la moindre indication. Le temps était au beau fixe, et, durant des jours et des jours, je voguai sans but sous un soleil de plomb, dans l'attente de voir passer un navire à l'horizon; ou de rejoindre les côtes d'une terre habitable. En vain : nulle terre hospitalière, nul bateau ne se montra. Dans ma solitude, je commençai à désespérer devant l'infini de cette vastitude d'azur. Le changement advint tandis que je dormais. Comment se produisit-il ? Je n'en sais rien. Mon sommeil, bien que troublé, agité de rêves multiples, avait été très lourd. Lorsque enfin je m'éveillai, ce fut pour découvrir que mon corps avait été, comme par un étrange phénomène de succion, à demi happé par une sorte de boue d'un noir d'encre, qui, s'étalait autour de moi en ondulations monotones à perte de vue, et dans laquelle, non loin de moi, mon bateau était allé s'échouer. J'aurais pu tout d'abord, en découvrant une scène aussi prodigieuse, aussi surprenante, rester frappé de stupeur et d'étonnement. En fait, je fus saisi d'une immense panique. Car il y avait dans l'air, et sur le sol jonché -de pourriture, un je-ne-sais-quoi de sinistre, qui me glaça d'effroi. Des carcasses de poissons morts, une foule d'objets indescriptibles, qui affleuraient en protubérances à la surface de cette étendue de fange, rendaient la région entièrement putride. Jamais je ne pourrai décrire telle que je la vis cette hideur innommable qui baignait dans le silence absolu d'une immensité nue. Il n'y avait là rien à écouter,rien à voir, sauf un vaste territoire de vase. La peur que fit naître en moi ce paysage uniforme et muet m'oppressa que j'en eus la nausée. Le soleil étincelait du haut d'un ciel sans nuages qui me sembla presque noir, comme s'il eût reflété lui-même le marais d'encre qui était sous nos pieds. Comme je rampais pour rejoindre mon bateau, je me rendis compte qu'il, n'y avait à ma situation qu'une seule explication : lors d'une éruption volcanique, une partie des grands fonds océaniques avait dû émerger, ramenant ainsi en surface des régions qui, depuis des millions d'années, étaient restées cachées sous d'insondables profondeurs aquatiques. Cette nouvelle terre était tellement immense que, même en tendant l'oreille, je ne percevais aucune houle marine. Aucun oiseau de mer non plus ne venait se poser sur ces choses mortes. Plusieurs heures durant, je restai assis à réfléchir dans mon bateau qui, couché sur le côté, me protégeait légèrement du soleil. A mesure que le jour avançait, le sol se fit moins humide. Il semblait sécher et durcir et je pensai que, sous peu, j'allais pouvoir m'y aventurer. Cette nuit-là je dormis à peine. Le lendemain, je préparai un paquetage de vivres et d'eau, en vue d'un voyage à travers ces terres, à la recherche de la mer évanouie et dans l'espoir d'une délivrance. Le troisième matin, je sentis que le sol était suffisamment sec pour que j'y puisse marcher sans difficulté. L'odeur des cadavres de poissons était pestilentielle. Mais j'étais si préoccupé de mon propre salut qu'elle ne me gainait pas outre mesure. Rassemblant tout mon courage, je partis pour une destination inconnue. Tout au long du jour, je me dirigeai vers l'Ouest, en direction d'un monticule qui se détachait à l'horizon de ce désert. Je campai à même le sol cette nuit-là, et, le lendemain, je poursuivis mon chemin vers le but que je m'étais choisi, bien que celui-ci me parût à peine plus proche que le premier jour. Le quatrième soir j'atteignis le pied de la colline, qui se révéla plus haute qu'elle ne m'était apparue dans le lointain. Trop fatigué pour en faire l'ascension, je décidai de dormir à l'ombre de ses flancs. Je ne sais pas pourquoi mes rêves furent si délirants cette nuit-là. Mais avant même que la lune blême et gibbeuse ne s'élevât au-dessus de la plaine orientale, je me réveillai couvert d'une sueur glacée, et je décidai de ne plus fermer l'oeil. Des visions comme celles qui s'étaient imposées à mes yeux étaient trop horribles pour que je pusse les supporter une fois de plus. Dans le rougeoiement de la lune, je constatai pourtant combien j'avais été imprudent d'entreprendre ce voyage en plein jour. Il m'aurait coûté moins d'énergie d'accomplir cette expédition lorsque le soleil aveuglant et brûlant était absent de l'horizon. Pourtant, je me sentais maintenant la force de faire l'ascension qui la veille, au crépuscule, m'avait semblé irréalisable. Après avoir ramassé mon bagage, je me dirigeai vers la crête. J'ai déjà dit que la monotonie de la plaine était pour moi la source d'une horreur diffuse. Mais je pense que cette horreur devint plus forte lorsque j'atteignis le sommet et que j'aperçus en contrebas sur l'autre venant des gorges si profondes que la lune - qui n'avait pas encore atteint son apogée - ne pouvait en éclairer tous les sombres replis. Je me sentis au sommet du monde. Penché sur le chaos insondable d'une éternelle nuit. Je me souvins du Paradis perdu. Et une satanique laideur monta des étranges royaumes des ténèbres. A mesure que la lune s'élevait dans le ciel, je commençai à voir que les bords de la vallée n'étaient pas aussi abrupts que je l'avais pensé. Au contraire, après une pente abrupte de quelque cent pieds, la déclivité se faisait progressive, ce qui permettait une descente relativement aisée. Pressé par je ne sais quelle impulsion, je dévalai la côte. C'est alors que je me trouvai devant des profondeurs stygiennes où la lumière n'avait jamais pénétré. Soudain mon attention fut attirée par un objet immense et singulier qui se dressait sur la pente opposée, à cent yards de moi. Un objet blanc qui brillait sous les rayons de la lune. Il s'agissait tout simplement d'un gigantesque bloc de pierre. Mais je sentis qu'il n'était pas une oeuvre de la Nature. Comme je l'observais avec plus d'attention, d'étranges sensations s'emparèrent de moi. Il était énorme et, depuis la genèse, il avait reposé dans un abîme au fond des mers. En dépit de tout cela, je sus immédiatement que cet étrange bloc était un monolithe, aux belles proportions, et dont la masse assurément avait été travaillé par l'homme, et peut-être même vénérée par d'autres créatures vivantes douées de la faculté de penser. Stupéfait et effrayé à la fois, mais aussi, je l'avoue, non sans éprouver ce fameux frisson qui chez le savant ou l'archéologue est l'expression du plaisir de la découverte, j'examinai les alentours avec plus de soin. La lune, maintenant proche du zénith, brillait d'une lueur étrange et crue au-dessus des flancs de la vallée qui dominaient la crevasse. Je m'aperçus qu'un flot puissant dévalait les pentes du gouffre. L'eau commençait déjà à me mouiller les pieds. Autour de moi, des vaguelettes léchaient la base du monolithe cyclopéen, à la surface duquel je pus alors distinguer des inscriptions hiéroglyphiques et des bas-reliefs. Je n'avais jamais vu dans mes livres une écriture semblable à celle-ci, qui se composait de symboles aquatiques : poissons, crustacés, pieuvres, mollusques, baleines, et autres habitants de l'océan. De nombreux idéogrammes représentaient de toute évidence des objets marins inconnus de notre monde, mais que j'avais vus en décomposition au cours de mon étrange équipée sur le grand océan fangeux. Cependant ce furent les bas-reliefs qui me terrorisèrent. Ils étaient parfaitement visibles, car ils s'élevaient bien au-dessus de la nappe d'eau envahissante. Doré les aurait contemplés avec passion. Je pense en effet que ces sculptures voulaient représenter des hommes - ou tout au moins une certaine catégorie d'hommes. Ils jouaient comme des poissons dans des grottes sous-marines, ou bien se trouvaient réunis dans un sanctuaire monolithique qui, lui aussi, reposait au fond des eaux.., Je n'ose pas les décrire en détail, car -il me suffit d'évoquer leur image pour défaillir. Plus horrible encore que les personnages qui hantaient l'imagination délirante d'un Poe ou d'un Bulwer, ils avaient une allure odieusement humaine, malgré leurs pieds palmés, leurs mains molles, leurs lèvres énormes, leurs yeux gonflés, et d'autres traits encore plus déplaisants. Ces créatures semblaient avoir été sculptées sans souci des proportions : la baleine qui, sur le bas-relief, succombait, victime de l'une de ces créatures, était à peine plus grande que son agresseur. Je décidai que ces personnages grotesques ne pouvaient être que les dieux imaginaires de quelque tribu de pêcheurs ou de marins, engloutie avant même que naquit le tout premier ancêtre du Piltdown ou de l'homme de Néanderthal. Saisi de crainte devant ce spectacle d'un passé si reculé que le plus audacieux des anthropologues n'en pourra jamais concevoir de plus lointain , je demeurai dans cette contemplation, tandis que la lune, jetait des reflets bizarres sur le chenal qui s'étalait devant moi. Soudain, je vis la chose. Dans un léger remous au-dessus dés eaux troubles, elle émergea. D'un aspect répugnant, d'une taille aussi imposante que celle de Polyphème, ce gigantesque monstre de cauchemar s'élança rapidement sur le monolithe, l'étreignit de ses grands bras couverts d'écailles, tandis qu'il inclinait sa tête hideuse en proférant une sorte d'incantation. Je pense que c'est à ce moment précis que je suis devenu fou. De mon escalade frénétique sur la falaise, de ma journée de délire sur le bateau échoué, je me souviens à peine. Je crois que j'ai beaucoup chanté, et ri bizarrement lorsque je ne pouvais plus chanter. J'ai le vague souvenir d'un violent orage qui a dû éclater lorsque j'eus atteint le sommet de la falaise. Je suis sûr, en tout cas, d'avoir entendu le tonnerre et d'autres bruits comparables que la Nature n'émet que lorsqu'elle est déchaînée. ' Quand je suis sorti des ténèbres, je me trouvais dans un hôpital de San Francisco, où m'avait déposé le capitaine d'un bateau américain qui m'avait recueilli en plein océan. J'avais longtemps déliré mais on semblait avoir fait peu de cas de mes récits. Mes sauveteurs n'avaient entendu parler d'aucun tremblement de terre dans le Pacifique, et je n'ai guère insisté : à quoi bon leur parler d'une chose qu'ils ne pourraient croire ? Un jour j'ai rencontré un célèbre ethnologue que mes questions sur l'antique légende philistine du Dagon, le Dieu.poisson, amusèrent. Mais je m'aperçus bientôt que ce savant était désespérément conventionnel, et j'arrêtai là mon enquête. C'est la nuit, quand la lune gibbeuse décline, que je vois la chose. J'ai bien essayé la morphine. Mais la drogue n'a amené qu'un léger sursis, et de plus elle a fait de moi son esclave. Aussi, maintenant que j'ai achevé d'écrire ce qui informera ou fera rire mes contemporains, je vais en finir. Souvent je me suis demandé si tout cela, au fond, n'était pas un simple phantasme - le résultat d'un accès de fièvre, qui m'aurait saisi juste après mon évasion du vaisseau allemand. J'ai beau mettre en doute ces horribles souvenirs, cette vision hideuse me poursuit sans trêve. Je ne peux songer à la haute mer sans revoir, en frémissant, ces êtres sans nom qui nagent et pataugent dans leur lit de vase, adorant leurs vieilles idoles de pierre, gravant leur propre image sur des obélisques de granit immergé. Mon rêve étrange se poursuit et je vois le jour où 'ils s'élèveront au-dessus des flots pour engloutir l'humanité affaiblie par les guerres. Ce jour-là, les terres s'enfonceront, et le fond des sombres océans se dressera au-dessus des eaux pour envahir l'univers. La fin est toute proche. J'entends un bruit à ma porte. Comme si un gigantesque corps rampant s'était glissé jusque chez moi. Il ne me trouvera pas. Mon Dieu ! cette main ! La fenêtre ! la fenêtre !

Bonne nuit, faite de beaux rêves Wink
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liling

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MessageSujet: Michael Moorcock   Un jour, un livre Icon_minitimeVen 28 Nov - 17:11

Apres cette pas d'horreur revenons a des choses plus onirique, l'héroique fantaisy I love you

Michael Moorcock (18 décembre 1939-...) est un peu comme Poe, de bonne idées imagination mais un pietre rédacteur. Heureusement pour nous la traduction améliore la chose Wink . Ses oeuvres, vont de la fantasy au space opera en passant par l'uchronie.

quelque mot de vocabulaire:
- Champion éternel: Dans toutes les époques, dans tous les univers, il viendra un Champions éternel, être unique qui sauvera le monde/univers.
- anti-héro: Non ce n'est pas un méchant. C'est un héros qui ne veut pas l'etre mais c'est sont destin. Alors le pauvre soit le suis par dépis, soit s'y oppose en vaint. Torgal est un anti-héro Wink , sont seul souhait est de se poser tranquillement dans un petit coin de paradis loin de la stupidité des hommes avec Aaricia et sa famille. M'enfin il tombe toujours sur un jaloux, un tyran, un dieu pour lui forcer a vivre de grande aventure et devenir un héros.
- Multivers: Termes qui definit/nome tous les univers possibles existant (univers paralelle y compris). Dans les cycles de Moorcock, les univers se suivent de facon chronologique mais existent aussi en paralle en meme temps.

Ces oeuvres d'heroic fantaisy basées sur le champions éternel:
- Le Cycle d'Elric: Elric de Melniboné est le prince d'une puissante nation Melniboné composée d'homme d'une grande force et d'un immense intelligence. Ce peuple tres consanguin ( Very Happy ) et un peu fou et ivre de démesure. Pour finir ce peuple qui 'domine' ce monde médiéval est le peuple élu et serviteur des dieux du Chaos. Elric lui le seul héritier du trone en un grand albinos famélique et pas froncièrement cruel dans l'âme Laughing . Lhistoire commence quand Elric doit devenir roi de Melniboné (et maitre du monde). Elric a heureusement une superbe épée démon Strombriger qu'il n'est pas assez fort pour manier en combat, mais cette derniere lui donne une force colossale (dans metin il aurai STR5 et avec l'épée 200 Wink ). Du a la grande intelligence de l'épée, elle est aussi capable de controler sont porteur qui pourtant est le plus puissant sorcier du monde du a son sang royal (Il traite quand meme d'egal a égal avec Arioch Duc du chaos). Pour survivre cette épée se nourrir de l'ame de ces victime, mais Elric voit ca d'un tres mauvaise oeil. Bien sur, Yyrkoon son cousin n'ai pas trop daccord avec sa et tentera de reprendre le pouvoir. Pour mettre un peu d'ambiance, Elric est amoureux fou (réciproquement) de sa cousine Cymoril et bien sur Yyrkoon aussi Very Happy . Voila un joly décors, que l'aventure commence cheers ...

- La Légende de Hawkmoon: Ce monde est le notre a l'an 5000 environ. Apres la grande guerre ABC (Atomique, Bactériologique et Chimique) des années 2000, notre monde est ravaer détruit et par sur de nouvelle base. Le résultat en 5000 donne un monde médiéval peuplé d'humain et de créature mutante (comme les Flament géant de Kamarg qui constitue la flotte aérienne de ce pays), avec quelque petit truc technologique comme les lance-feu (fusil laser), les Granbretons possède des Ornithoptère (machine volante en forme d'oiseau, qui battent des aile pour voler), et quelque petit truc plus ou moins courant encore... Tout autres science est appeler sorcelerie et les sorcier sont brulé sur des buchers dans la pluspart des pays. A l'Est, au dela de l'Ukainie, Moscovie... c'est le desert de 'radiation' personne y va. Au dela des mer de l'Ouest ou il n'ai pas bon de naviguer trop loin, certain parle d'un pays légendaire appelé l'Amarek... Le peuple grandbreton (le romain du futur), sont entrain d'envahir l'europe. C'est un peuple 'débile', fort et intélligent et qui possède de tres grand Sorciers. Chaque caste/proffession est réparti dans des 'guildes' liér a un animal (loup,chien,cocochon...: les guerriers. Taurreau...: les guerrier a l'arme a 2 mains. faucon,vautour...: pilote d'ornithoptère. Serpent: scientifique (ce sont les seul a employer ce mot Wink ) et ainsi de suite). Leur Emperreur, Huon, vie depuis 2000 ans dans un globe de liquide qui le maintient en vie et d'ou il dirige l'empire. Tout va commencer lors de l'invasion de la Germanie et que Méliadus grand connétable du Loup prend Khöln, tu le duc de Khöl hawkmoon et fait prisonnier son fils Dorian Hawkmoon... Hawkmoon 's'enfuira', rejoindra la Kamarg et resistera aux grand Breton. Il tombera amoureux, d'Yselda (je crois), la fille du roi de Karmarg (ancien héros qui a pose a lui seul l'equilibre des roi d'Europe). Pour maitre l'ambiance Méliadus tombera aussi amoureux de Yselda et jurera sur le baton runique qu'elle sera sa femme... Le baton runique est l'esprit déité/faconneur de destin de ce monde. Jurer en son nom est: Si l'on reussit, c'est trop trop bien, et tout nous sourris... Si on n'echoue, c'est la catastrophe et l'on découcre que dans la misere, il y a toujour plus profond que le fond. Comme une telle promesse n'engage pas que le jureur, c'est l'Europe tout entiere qui vivra aux rythme de ce serment tout au long de 'la légende d'Hawkmoon'...

- Les Livres de Corum: le monde de Corun est un monde medieval ou vie en harmonie la science et la magie.

- La Quête d'Erekosë: je connais que son nom et ne peu pas vous en dire grand chose Very Happy . Je crois que cette saga en 90 n'etait toujours pas traduite Sad .

La bibliographie
- Le navigateur sur les mers du destin: C'est l'histoire de 2 super entité un peu gamine qui pour tuer le temps sirotent des univers entiers a la paille... C'est la fin du multi-univers... Le navire qui navigue sur le fleuve du destin par donc receuillir 4 champoins éternel: Elric, Hawkmoon, Corum et Erekosë.
Cette histoire est raconté dans les 4 saga du champion éternel, mais raconter a travers le temps et les yeux du champions en question: un truc magique sera pour Elric de la demonologie, pour Hawkmoon de la sorcelerie quand a Corum il vera un fait scientifique ou de la magie blanche Wink .
- le monde d'Elric serait pour Moorcock l'avant dinosaure et celui d'hawkmoon un de nos futurs...
- le monde d'elric, le chaos. Celui d'Hawkmoon la loi. Celui de Corum la neutralité.

study Voila on n'a fait le tour de mes connaissances litéraires Very Happy , a part quelque tragédie grècque dont je suis friand, des mythes et légendes de divers pays, point de vu auteur je n'ai qu'une retransmission orale des livres study .
Je vous laisse donc se sujet, bisous-bisous flower
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negrid

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeSam 29 Nov - 22:54

moi jsuis vraiment désolé mais j'ai pas eu le courage de lire tu ce que ta écrit...

je ne lis jamais sauf des mangas mais j'ai pris un livre dernièrement qui me plait il s'appelle "les Chroniques de Khëradön" (jme souvien plus de l'auteur^^)
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liling

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeLun 1 Déc - 12:52

C'est pas grave c'est un sujet pour lecteur Very Happy
Pour te faire un pyti résumé, il y a écrit: Que mon joueur ne lit jamais. Qu'il a lu 13 livre dans sa vie et présente ses livres classé par auteur:
- Lovecraft: auteur des années début 1900 crack de l'épouvante. Source du mythe de Cthulhu, fondation de l'épouvante/horreur actuelle.
- Micheal Moorcock: auteur d'environ 1970, SF et héroïque fantasy. Ici je ne présente que l'héroïc fantaisy basé sur le multivers, les champions éternel et l'anti-héros (les définition de ces mots se trouve au début de la case juste au dessus de ton intervention).
Le gros carré de citation est une nouvelle de Lovecraft: Dagon
Hésiste surtout pas a créer un sujet manga ou a en parler dans le sujet 'la bande a BD'
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ludopika
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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMar 2 Déc - 21:06

C'est quoi un livre?

Le dernier truc que j'ai lu ressemblait à ça Laughing :
Un jour, un livre Be_jup10

A BOIRE AVEC MODERATION
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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMer 3 Déc - 14:21

moi j'ai aretter de lire les étiquette sur les bierres pendant que je buvais drunken , je finissait par voir trouble Shocked et le lendemain j'avais mal au cran Suspect
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negrid

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMar 9 Déc - 21:07

eh ben on a une guilde d'alcolo!!!! affraid moi j'lit pas trop mais je bois pas trop non plus. tous avec modération^^
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kamedaru

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMar 9 Déc - 23:18

oui ta raison negrid fais comme moi ne boit pas Laughing
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Zabuza03

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMer 10 Déc - 3:38

Boire atteint gravement le cerveau !!!

J'ai dansé de la Tecktonik sous l'effet de l'alcool, donc je sais de quoi je parle ><
Aujourd'hui encore, j'en suis choqué. Shocked
Comment mon cerveau et mon corps a t-il pu me faire une chose pareille ?!!! Traitre !!!!! Mad
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liling

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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeMer 10 Déc - 19:13

Sad mon pauvre zabu Crying or Very sad , la effectivement c'est un argument de poid pour la ligue anti-alcool cheers .
Je bois rarement, mais je m'en tire bien, quoique du temps de ma jeunesse folle bien bourré j'ai <CENSURE> affraid
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ludopika
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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeJeu 11 Déc - 21:54

A bas la censure! on veut tout savoir Laughing

Tu faisais des strip-tease nue sur les tables?
Tu donnais 100 euro a tous ceux que tu croisais?
Tu vomissais sur la paillasson du voisin?
Tu te prenais pour un canari jaune fluo?
Tu fumais les pousses de salade de ton grand-pere?
Tu pissais dans ta culotte?...
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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeLun 15 Déc - 1:24

Pffffffff l'euro n'existait pas dans ces temps antique Razz
Non t'a vraiment fait tout ca toi Laughing
En fait je t'avouerai que je sais meme plus a quelle anecdote je pensais scratch c'est pas beau de viellir No .
Vu la conversation d'avant je raconterai bien les vendredi soir, on se frappait 3-4 tequilla frapper sur le toit de la clio. Puis on se depechait d'entree en boite avant que la mousse n'attaque le cerveau drunken . Mais ca c'etait soft, c'etait le rituel du vendredi soir pour bien attaquer le week-end Wink
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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeLun 15 Déc - 17:54

tequila-paf
kronembourg au sirop de pêche
infusion d'herbe de provence (euh tu m'aura compris.... c'est interdit Twisted Evil )
whisky - orange
soho - fruit exotique
gin - kaas
vodka - orange
tequila - get27 - vodka (flambée) (TGV)
ricard
martini blanc
manzana à la pomme

Pas tout ça en une soirée bien sûr. Mais c'est une des cartes des alcools de nos week-end de jeune trou du cul Laughing .
Rah les souvenirs, ca fait tourner de l'oeil des fois pale...on buvait tout ca ? Sleep ...
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MessageSujet: Re: Un jour, un livre   Un jour, un livre Icon_minitimeLun 15 Déc - 18:52

Oui en parlant de souvenir, il me revenait justement mon dernier jour de l'an au Havre santa . Pour bien faire comprendre les technique du dos crawler, j'ai fait 10 minutes de dos crawler en chemise blanche dans le salon cheers . Mais je me suis relevé et ai pu quand meme trinquer pour la nouvelle année drunken .
Sinon nos premières "surprise party", avec un ami on préparait le verre de l'autre. Ca donnait du cerceuil sur cerceuil Twisted Evil . Plus tard on s'ai assagit, TGV (mais au Gin et pas au Jet27, on n'est pas des gonzesses nous Cool ). Maintenant je suis vieux, alors je me conserve qu'au rhum principalement (c'est meilleur que le phormol quand meme) I love you . Mais principalement c'est le bon cidre ou pinard a table (attention pas plus de 2 a 3 bouteille par personne on est raisonnable maintenant), puis la bénédictine (fabriqué dans mon village natal) pour digérer flower .

Sinon oui, je connais les herbes de provence elephant , j'avais au Havre dans les amis que je cotoyais énormément de consomateur et parmis les meilleurs fournisseurs du coin Cool . M'enfin, y a des jeunes qui nous lisent et comme on est dans un sujet literaire, je citerai ce grand philosophe study
Jean-Claude Vandame a écrit:
Fais pas comme moi Azis(LoftStory 1) drunken , touche pas a cette merde drunken . Moi j'ai galéré pour m'en sortir drunken ...
PS: Ce discours biensur complêtement déchiré a la coco

PS: ca y est j'ai réussit a placer le elephant . Vive moi cheers .
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